Reseña del editor:
Aujourd'hui, une femme sur trois vit en solo, et leur nombre s'accroît d'année en année. Allons-nous vers une génération de célibataires ? Pourquoi tant de femmes vivent-elles seules et heureuses de l'être ? Et si cela n'était pas une maladie mais au contraire un art de vivre ?La Femme seule et le Prince charmant est un conte moderne qui répond à ces questions en profondeur. Mieux vaut une solitude heureuse que le malheur partagé, sans doute, mais les choses sont-elles aussi simples ? L'analyse de Jean-Claude Kaufmann apporte des réponses rarement données et difficiles à entendre parce qu'elles bousculent trop d'interdits. « Derrière une écriture ciselée, des trésors d'informations. » Le Point Cet ouvrage a reçu le prix BordinAvant-propos inédit de l'auteur
Reseña del editor:
Le nombre de femmes vivant hors couple ne cesse de croître, mais il manque toujours un mot pour les désigner. Célibataire signifie non mariée. Femme seule a une connotation négative. Autonome ? Bien des épouses revendiqueraient cette épithète. Et mieux vaut ne pas se tourner vers le passé et les deux stéréotypes opposés de la vieille fille et de la femme légère. Seules les veuves, en référence à leur conjugalité passée, sont identifiables. A la fin du XIXe siècle, avec le bouleversement industriel, l'urbanisation et l'essor du travail féminin, un nouveau célibat apparaît, préfigurant celui d'aujourd'hui : il se caractérise par l'autonomie résidentielle, se propage des villes vers les campagnes et se situe aux extrêmes des âges et de l'échelle sociale. Des femmes sûres d'elles, menant leur vie professionnelle et sentimentale à leur gré. Pour la première fois, le mode d'entrée des filles dans la vie adulte n'est plus le mariage mais la vie sans mari !
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