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  • Couverture souple. Zustand: Assez bon. Grand in-8° broché, 103 pages. Eugène Minkowski : L'oeuvre psychiatrique de Maurice Mignard. Paul Guiraud : Les meurtres immotivés. Henri Codet : Les émotifs et les impressionnables. M. Montassut. Sophie Morgenstern : Conception psychanalytique de la dépersonnalisation. En 1925, quelques psychiatres et psychanalystes parisiens formèrent un groupe d'études autour de Adrien Borel (qui est resté comme le psychanalyste de Georges Bataille et Michel Leiris), H. et O. Codet - Angelo Hesnard - Eugène Minkowski - Françoise Minkowska - E. Pichon - P. Schiff - Il s'agissait essentiellement de confronter les points de vue psychanalytiques qui à cette époque, peu après la première guerre mondiale, avaient conquis droit de cité en France - et les points de vue psychiatriques. Les discussions du Groupe, ardentes et approfondies, furent alors publiées dans les premiers tomes de l'Evolution Psychiatrique (alors chez Payot) - Plus tard la revue fut publiée par Maloine, Chahine puis d'Artray. Le Groupe s'augmenta rapidement et admit en son sein des psychanalystes de grande renommée (Morgenstern - Rudolph Loewenstein qui fut le psychanalyste de Lacan - Sacha Nacht - Pierre Male - Charles Odier - Julien Rouart - Raymond de Saussure - Daniel Lagache - Favez-Boutonnier - Serge Lebovici - René Diatkine - Jacques Lacan - P.C. Racamier Charles Brisset .) et des psychiatres connus par leurs travaux de psychiatrie clinique, de psychopathologie, ou leurs affinités avec la psychologie des profondeurs ou la phénoménologie (Ceillier - Georges Daumezon - Deshaies - Dublineau - Duchêne - Henri Ey - Sven Follin - Fouquet - Laboucarié - Lanteri-Laura - Mignot - Montassut - Pichot - Tosquelles .) qui vinrent en grand nombre participer aux travaux de la Société et publièrent d'importants articles dans sa revue. Certains de tendance plus nettement sociopsychologique ou sociopsychiatrique (Le Guillant - Sivadon - Veil .), ou d'autres orientés sur les problèmes de neuropathologie ou de pathologie générale dans leurs rapports avec la pathologie mentale (Ajuriaguerra - Angelergues - Baruk - Blanc - Dongier - Guiraud - Hécaen - Koupernik - Nayrac - Tusques .).

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    Couverture souple. Zustand: Très bon. Edition originale. Grand in-8° broché : René Allendy : Les représentations et l'instinct de la mort - - Henri Codet : Intuition normale et pathologique - - Angelo Hesnard : Psychologie de l'homosexualité masculine - - Eugène Minkowski : La notion du temps en psychopathologie - - Gilbert Robin : L'onanisme chez l'enfant - - - - En 1925, quelques psychiatres et psychanalystes parisiens formèrent un groupe d'études autour de Adrien Borel (qui est resté comme le psychanalyste de Georges Bataille et Michel Leiris), H. et O. Codet - Angelo Hesnard - Eugène Minkowski - Françoise Minkowska - E. Pichon - P. Schiff - Il s'agissait essentiellement de confronter les points de vue psychanalytiques qui à cette époque, peu après la première guerre mondiale, avaient conquis droit de cité en France - et les points de vue psychiatriques. Les discussions du Groupe, ardentes et approfondies, furent alors publiées dans les premiers tomes de l'Evolution Psychiatrique (alors chez Payot) - Plus tard la revue fut publiée par Maloine, Chahine puis d'Artray. Le Groupe s'augmenta rapidement et admit en son sein des psychanalystes de grande renommée (Morgenstern - Rudolph Loewenstein qui fut le psychanalyste de Lacan - Sacha Nacht - Pierre Male - Charles Odier - Julien Rouart - Raymond de Saussure - Daniel Lagache - Favez-Boutonnier - Serge Lebovici - René Diatkine - Jacques Lacan - P.C. Racamier Charles Brisset .) et des psychiatres connus par leurs travaux de psychiatrie clinique, de psychopathologie, ou leurs affinités avec la psychologie des profondeurs ou la phénoménologie (Ceillier - Georges Daumezon - Deshaies - Dublineau - Duchêne - Henri Ey - Sven Follin - Fouquet - Laboucarié - Lanteri-Laura - Mignot - Montassut - Pichot - Tosquelles .) qui vinrent en grand nombre participer aux travaux de la Société et publièrent d'importants articles dans sa revue. Certains de tendance plus nettement sociopsychologique ou sociopsychiatrique (Le Guillant - Sivadon - Veil .), ou d'autres orientés sur les problèmes de neuropathologie ou de pathologie générale dans leurs rapports avec la pathologie mentale (Ajuriaguerra - Angelergues - Baruk - Blanc - Dongier - Guiraud - Hécaen - Koupernik - Nayrac - Tusques .).

  • Bild des Verkäufers für L'Encéphale journal de neurologie et de psychiatrie fondée par A. Antheaume, publié et dirigé par Henri Claude & Jean Lhermitte 1925 (vingtième année) tome 20 premier semestre zum Verkauf von LIBRAIRIE PIMLICO

    Couverture rigide. Zustand: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 352 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : HENRI CLAUDE & EUGENE MINKOWSKI : Contribution à l'étude des mécanismes schizophréniques - L. PAPADATO : Etude clinique et anatomique d'un cas de maladie de Wilson - LUDO VAN BOGAERT : Les troubles mentaux dans la sclérose latérale amyotrophique - F.M.R. WALSHE (de Londres) : La rigidité dérécébrée de Sherrington et ses relations avec la rigidité musculaire - PIERRE QUERCY : remarques sur la théorie bergsonienne de l'aphasie sensorielle - ROBERT BING & LEONARD SCHWARTZ : Les crises oculogyress verticales du parkinsonime postencéphalique - E. KONONOVA : Les dégénérescences secondaires ascendantes - CHARLES FOIX & PIERRE HILLEMAND : Les syndromes de l'artère cérébrale antérieure - ANTOINE MIKULSKI (de Wilna en Pologne) : Troubles psychiques de l'encéphalite épidémique - HENRI CLAUDe & GILBERT ROBIN : La discrimination entre la démence précoce et la schizophrénie - MAURICE MIGNARD : Subduction mentale morbide et réactions psychopathiques secondaires - BOUYER : Un cas de zoopsie lilliputienne role de la mythomanie constitutionnelle dans certaines hallucinations de la vue - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre.

  • Bild des Verkäufers für L'Encéphale journal de neurologie et de psychiatrie fondée par A. Antheaume, publié et dirigé par Henri Claude & Jean Lhermitte 1924 (vingt-quatrième année) tome 24 premier semestre zum Verkauf von LIBRAIRIE PIMLICO

    Couverture rigide. Zustand: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 336 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : J. RAMSAY HUNT (de : Nouvelle contribution à la conception des systèmes statique et kinétique de la motilité - ROGER DUPOUY & EUGENE MINKOWSKI : Impulsions au tatouage et perversion sexuelle - ANGELO HESNARD & RENE LAFORGUE : Contribution à la psychologie des états dits schizophréniques - RAYMOND DE SAUSSURE : Diagnostic différentiel entre la folie maniaque dépressive et la catatonie - WALTER FREEMAN : La décérébration chez l'homme - REVAULT D'ALLONNES : Le vol de la pensée - ADRIEN BOREL & HENRI CLAUDE & GILBERT ROBIN : Démence précoce, schizomanie et schizophrénie - GABRIELLE LEVY & LUDO VAN BOGAERT : Recherches sur le rythme respiratoire dans certaines maladies du système nerveux en particulier chez les pseudo-bulbaires - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre.

  • Bild des Verkäufers für L'Encéphale journal de neurologie et de psychiatrie fondée par A. Antheaume, publié et dirigé par Henri Claude & Jean Lhermitte 1923 (18eme année) tome 18 deuxieme semestre zum Verkauf von LIBRAIRIE PIMLICO

    Couverture rigide. Zustand: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 730 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : VULLIEN & NAYRAC : L'association cérébello-parkinsonienne - J.-A. BARRE : Etude clinique d'un cas de paraplégie due à la présence d'une balle et survenue quatre ans après la blessure - URECHIA & N. ELEKES : La rigidité pallidale syphilitique - ANGELO HESNARD : Les récents enseignements psychologiques de Freud - CHARLES FOIX & I. NICOLESCO : Sur les connexions du locus niger de Soemmering - HENRI FLOURNOY : Hallucinations lilliputiennes atypiques chez un vieillard atteint de cataracte - PAUL GUIRAUD : Lésions des cellules nerveuses dans l'encéphalite léthargique - A. PRINCE : Curieuses fantaisies décoratives d'un hypomaniaque sur un monument public - URECHIA & POPOLITZA : L'inoculation expérimentale du rhinosclérone - EUGENE MINKOWSKI & R. TARGOWLA : Contribution à l'étude des idées d'influence - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre, dans lequel il rend un vibrant hommage à son maître Henri Claude, décédé le 29 novembre 1945, à l'âge de 76 ans, non sans avoir rappelé brièvement l'histoire de la revue " La revue L'Encéphale comptait, à partir du 20 décembre 1906, trois directeurs : Antheaume, F. Raymond et Henri Claude. Directeurs de la publication de 1946 à 1973, J. Lhermitte et J. Delay sont rejoints en 1950 par H. Baruk et J. de Ajuriaguerra, comme rédacteurs.

  • Bild des Verkäufers für L'Encéphale journal de neurologie et de psychiatrie fondée par A. Antheaume, publié et dirigé par Henri Claude & Jean Lhermitte 1923 (18eme année) tome 18 premier semestre zum Verkauf von LIBRAIRIE PIMLICO

    Couverture rigide. Zustand: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 352 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : SANTE DE SANCTIS : Etudes de neuro-psychiatrie infantile : les enfants dysthymiques - AUGUST WIMMER : La folie médiumnique - PAUL COURBON : De la dualité étiologique de la manie et de la mélancolie ; maladies du rythme et de l'équilibre - W. MOTT : Etat des organies sexuels dans la démence précoce - HENRI CLAUDE : Syndrome parkinsonien postencéphalitique - G. MARINESCO & A? RADOVICI : Idiotie amaurotique et rigidité décérébrée - EUGENE MINKOWSKI : Données psychanalytiques dans un cas de doute obsédant - ROGUES DE FURSAC & EUGENE MINKOWSKI : Contribution à l'étude de la pensée et de l'attitude autistes - L. PAPADATO : Contribution à l'étude de l'apraxie - ANDRE-THOMAS : Gliome de l'angle ponto-cérébelleux - DEMETRE & L. GRIGORESCO : Syndrome pluriglandulaire avec infantilisme et psychose - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre, dans lequel il rend un vibrant hommage à son maître Henri Claude, décédé le 29 novembre 1945, à l'âge de 76 ans, non sans avoir rappelé brièvement l'histoire de la revue " La revue L'Encéphale comptait, à partir du 20 décembre 1906, trois directeurs : Antheaume, F. Raymond et Henri Claude. Directeurs de la publication de 1946 à 1973, J. Lhermitte et J. Delay sont rejoints en 1950 par H. Baruk et J. de Ajuriaguerra, comme rédacteurs.

  • Bild des Verkäufers für L'Encéphale journal de neurologie et de psychiatrie fondée par A. Antheaume, publié et dirigé par Henri Claude & Jean Lhermitte 1921 (seizième année) tome 16 premier semestre zum Verkauf von LIBRAIRIE PIMLICO

    Couverture rigide. Zustand: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, 336 pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : HENRI HOVEN : Des lésions anatomo-pathologiques de l'idiotie - RAOUL MOURGUE : Aphasie et psychologie de la pensée - GERBER & F. NAVILLE : Contribution à l'étude histologique de la sclérose latérale amyotrophique - RAOUL MOURGUE : La notion de diachisis : problème de l'évolution de la fonction dans l'oeuvre de Monakow - CONSTANTIN VON MONAKOW : Histoire naturelle des tumeurs cérébrales en particulier du gliome - MAURICE MIGNARD : Les variations de valeur de l'activité mentale dans les états démentiels - PAUL COURBON : De l'influence de la guerre sur la délinquance juvénile en Alsace-Lorraine - OBREGIA (Bucarest) & URECHIA (Cluj) : Un cas d'akroasphyxie chronique - EUGENE MINKOWSKI : La schizophrénie et la notion de maladie mentale dans l'oeuvre de Bleuler - RAOUL MOURGUE : L'activité statique du muscle : origine historique de cette notion - - - - - - - - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre, dans lequel il rend un vibrant hommage à son maître Henri Claude, décédé le 29 novembre 1945, à l'âge de 76 ans, non sans avoir rappelé brièvement l'histoire de la revue " La revue L'Encéphale comptait, à partir du 20 décembre 1906, trois directeurs : Antheaume, F. Raymond et Henri Claude. Directeurs de la publication de 1946 à 1973, J. Lhermitte et J. Delay sont rejoints en 1950 par H. Baruk et J. de Ajuriaguerra.

  • Bild des Verkäufers für L'Encéphale journal de neurologie et de psychiatrie fondée par A. Antheaume, publié et dirigé par Henri Claude & Jean Lhermitte 1921 (seizième année) tome 16 deuxième semestre zum Verkauf von LIBRAIRIE PIMLICO

    Couverture rigide. Zustand: Très bon. Edition originale. Grand et très fort in-octavo relié pleine toile bleu Lila, état parfait si l'on excepte un dos légèrement insolé, -_' pages. Richement illustré in et hors-texte. Nous ne pouvons mentionner tous les articles , mais signalons seulement : WERTHEIM-SALOMONSON : Clonus du pied simple et alternant - JOSEPH CAPGRAS : Autobiographie d'un pervers érotique idée obsédante et délire imaginatif d'inceste - EUGENE MINKOWSKI : La schizophrénie et la notion de maladie mentale (sa conception dans l'oeuvre de Bleuler) - BENJAMIN LOGRE : Nécrologie du Professeur Ernest Dupré - ANDRE-THOMAS : Sclérose combinée frustre a marche lente régressive et à rechutes - HENRI CLAUDE & H. BIANCANI : Sur un cas d'obsession génitale avec angoisse et tendance à l'exhibitionnisme chez la femme - RAOUL LEROY : Le syndrome des hallucinations lilliputiennes - MARINESCO : Contribution à l'étude de l'histologie pathologique et à la pathogénie de l'idiotie amaurotique - ANGELO HESNARD : Psychoanalyse et phobies génitales - J. HAMEL & P. VERNET : Contribution à l'étude de la manie chronique - ANDRE-THOMAS : Aphasie, amusie et acalculie - - - - - - - - - En 1906, dans l'éditorial du premier numéro de L'Encéphale, publié sous la direction d'Antheaume et Klippel, la rédaction s'explique sur « la lourde entreprise de publier un nouveau journal » [1]. « La psychiatrie qui a pris en France, au siècle dernier, un si remarquable essor, s'est développée dans des conditions très particulières. [. . .] La pathologie mentale, par suite de circonstances sur lesquelles il est inutile d'insister, s'est constituée dans une sorte d'isolement, que semblait légitimer le dualisme traditionnel du corps et de l'esprit. » [ L'identification, en 1905, du Treponema pallidum par Fritz Schaudinn et Erich Hoffmann a constitué une avancée considérable dans la compréhension de l'étiopathogénie de la syphilis (les patients souffrant de la paralysie générale étaient soignés dans les asiles d'aliénés). Pour la rédaction de L'Encéphale, cette découverte est une conquête de la neuropathologie qui appelle à « une fusion désirable » entre « les pathologies de l'esprit et celles du corps ». Et de poursuivre : «Aujourd'hui, l'enceinte étroite où s'était laissée momentanément isoler la pathologie mentale est rompue ». En 1906, L'Encéphale publie dans son premier volume des articles originaux : de Sérieux et Capgras (Les symptômes des délires d'interprétation), de Régis (Poésie et paralysie générale et La poésie dans les maladies mentales), de Mlle le Docteur Constance Pascal , souvent considérée comme la première femme psychiatre de France (Les ictus dans la démence précoce et Sur le délire des préjudices préséniles) et des commentaires d'ouvrages et de communications des congrès franc¸ ais et étrangers, des réunions de sociétés savantes qui traduisent la pensée des grands maîtres du temps : Alzheimer, Pick, Abraham, Janet, Dide, Ribot, mais aussi Emil Kraepelin. Keraval relate une opinion développée par le père de la folie maniaco-dépressive : les asiles d'aliénés seraient les lieux privilégiés pour l'observation naturaliste de l'évolution des pathologies mentales, alors que les cliniques (universitaires à l'allemande) seraient plus appropriées pour l'exploration des « causes physiques, somatiques et des manifestations concomitantes de la folie ». La publication de L'Encéphale se poursuit jusqu'en 1940. Interrompue par la seconde guerre mondiale, la publication de L'Encéphale reprend en 1946-1947 sous l'impulsion de Jean Lhermitte et de Jean Delay. Lhermitte signe l'éditorial du premier numéro d'après-guerre, dans lequel il rend un vibrant hommage à son maître Henri Claude, décédé le 29 novembre 1945, à l'âge de 76 ans, non sans avoir rappelé brièvement l'histoire de la revue " La revue L'Encéphale comptait, à partir du 20 décembre 1906, trois directeurs : Antheaume, F. Raymond et Henri Claude. Directeurs de la publication de 1946 à 1973,

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